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427 articles avec humeur

Casanova n'a rien compris !

Publié le par Lance

12 070 personnes s'étaient déplacés à Bollaert, mardi contre l'AC Ajaccio (2-1), à l'occasion du premier tour de Coupe de la Ligue. L'affluence était deux fois plus faible que quatre jours plus tôt contre Nîmes (1-2) mais la contestation des tribunes contre Alain Casanova a pourtant été bien plus importante. Le nom de l'entraîneur a comme d'habitude était sifflé lors de la composition des équipes, le chant "Casanova casse-toi" a été entendu à plusieurs reprises lors de la soirée et le public a scandé le nom de Sikora, entraîneur de l'équipe réserve que l'opinion publique aimerait voir succéder au technicien arrivé de Toulouse l'été dernier. "Je vais être honnête, personne ne le vit très bien, reconnaît Casanova. Mais j'ai les épaules larges. C'est comme ça. Je me concentre sur mon job. Ce qui compte, c'est que mes joueurs soient préservés et soient capables de mettre en place leur jeu quel que soit le contexte. Ça ne va pas me faire changer. Ne comptez pas sur moi pour me voir partir. Je suis quelqu'un qui reste debout. [...] Je fais le maximum. [...] Je continuerai à assumer mes responsabilités. Je suis droit devant vous."

Casanova estime que le mécontentement populaire s'explique par l'échec de la saison passée, qu'il avait lui-même considéré comme "un échec personnel" au soir de la tente-huitième journée. "On peut me reprocher de ne pas être monté en L1 pour un point, a-t-il répété mardi. J'ai assumé. Mais je ne suis pas un moins bon entraîneur avec un point de moins que je n'aurais été meilleur que ceux d'Amiens ou de Troyes avec un point de plus." L'entraîneur n'a pas compris les origines de la défiance dont il est l'objet. Une promotion en Ligue 1 n'aurait pas suffi pour qu'il soit perçu comme un bon entraîneur. Le mal est plus profond. Ne pas être monté en Ligue 1 a libéré une colère qui s'est développée tout au long de la saison passée et s'exprimait alors avec moins d'intensité. Le chant "Casanova casse-toi" a en effet été entendu pour la première fois à Bollaert il y a six mois, lors d'une triste prestation contre Troyes (0-0), et le nom de l'entraîneur est constamment sifflé depuis le printemps.

Le jeu que cherche à mettre en place le technicien depuis maintenant un an ne séduit pas. Les longues périodes de possession stériles accompagnées d'un festival de passes en retrait ont très vite lassé. Le public s'ennuie trop souvent à Bollaert. Quand tu vois jouer Lens, tu as juste envie de pleurer écrivions-nous dès septembre 2016 en paraphrasant Pierre Ménès au sujet du Téfécé version Casanova (voir article). Les victoires, rares à domicile (dix en vingt matches de Championnat depuis la saison passée) n'enflamment pas Bollaert et il est frustrant de quitter l'enceinte sans avoir vécu les émotions qui peuvent l'être.

Le manque de charisme de l'ancien gardien de but étonne. Avoir succédé à Antoine Kombouaré ne l'aide pas. Le Kanak était sans conteste un meneur d'hommes. Le natif de Clermont-Ferrand apparaît moins énergique, plus mou et ses discours amènent moins de détermination. La gestion qu'il a fait de son groupe la saison passée interpelle : joueurs écartés, manque de concurrence.

Ses conférences de presse n'ont la plupart du temps aucun intérêt. Les banalités s'y succèdent. Sa communication peut se révéler maladroite comme lorsqu'il explique en février, à l'issue d'un nul contre Troyes succédant à deux défaites en L2 et une autre à Bergerac en Coupe de France, "la montée ne se joue pas en février, mais fin mai" avant de considérer trois mois plus tard que la réception de Strasbourg pour le compte de la 36ème journée constitue un match "important et non décisif." Il protège trop son groupe, affirmant voir de bonnes choses quand son équipe n'a rien montré. Il multiplie les mauvaises excuses pour expliquer les mauvais résultats (voir notre article Le Top 10 des mauvaises excuses de Casanova). À son arrivée, à l'occasion du premier match de préparation de l'été 2016, il a affirmé mettre en place un 3-5-2 car son effectif comportait "des pistons capables d'avoir de grandes capacités en contre-attaques, tels que Lala ou Scaramozzino, voire les deux jeunes Ebosse et Zedadka. On a là des profils susceptibles de jouer dans ce système de jeu, de bien utiliser les couloirs." Il s'est trompé, a persisté dans l'erreur plusieurs semaines et a d'entrée perdu en crédibilité.

Alain Casanova fait son travail avec beaucoup de sérieux mais les reproches qui lui sont nombreux. Il faudrait donc plus qu'une succession de victoires pour lui permettre de devenir un entraîneur populaire à Lens. Et le tacle qu'il a adressé aux contestataires ("La L1, nous aussi on la veut. Mais il ne suffit pas de le dire. Il y a des adversaires et un rapport de force. Le foot ne se joue pas sur la Playstation") n'améliorera pas sa cote chez les supporters...

Lance

Publié dans Humeur

Lens est déjà dans le dur

Publié le par Lance

Il ne faut jamais quitter Bollaert avant la fin d'un match. C'est dans les fins de soirées que s'y produisent les plus belles déceptions. Le 19 mai, alors qu'il l'emportait contre Niort (3-1) lors de la dernière journée de l'exercice 2016-17, le Racing avait perdu son billet pour la Ligue 1 à cause d'un but de Troyes (88ème) puis la place de barragiste à cause d'un but d'Amiens (96ème). Ce vendredi contre Nîmes, pour leur premier match de la saison à Bollaert, les Sang et Or ont concédé l'égalisation à la 87ème puis se sont inclinés dans le temps additionnel (90ème +2).

Lundi à Auxerre, les Artésiens avaient livré un match intéressant pendant une heure et n'auraient pas mérité de perdre. Ce soir, il faut chausser des lunettes et s'équiper d'une loupe pour réussir à distinguer quelques phases intéressantes. Cristian Lopez a ouvert le score dès la sixième minute de jeu. Son but, marqué sur une contre-attaque, a été inscrit contre le cours du jeu par une équipe alors déjà dominée. Elle n'a pas montré grand chose en quatre-vingt-dix minutes et les quelques occasions mal négociées ne peuvent être utilisées pour tenter de cacher l'absence de jeu chez les hommes d'Alain Casanova. Lens-Nîmes était un match important pour la confiance et la crédibilité du jeu lensois (voir notre article Un match important pour la confiance et la crédibilité) ? Chacun peut mesurer le chemin qu'il reste à parcourir pour une équipe qui prétend jouer la montée.

Après deux matches, Lens n'a pas inscrit le moindre point et occupe la dix-septième place qui donnera accès en fin de Championnat à un barrage contre le troisième de National. La première place est déjà à six points, la deuxième à quatre points. Le travail et le recrutement des trois joueurs recherchés (Madri étant gravement blessé, une quatrième arrivée ne serait pas de trop) pourraient être source d'espoir. Les supporters lensois ont cependant bien conscience qu'Alain Casanova éprouve bien des difficultés à faire progresser une équipe et l'amener au niveau espéré.

Comme c'est devenu une habitude depuis la fin de saison passée, le nom de l'entraîneur du Racing a été sifflé par Bollaert. Son départ a été réclamé après chaque but des Crocodiles et le nom de Sikora a été scandé par la Marek. "Il semble difficile de repartir avec un entraîneur sifflé avant chaque rencontre et dont une partie du public a à nouveau réclamé le départ ce soir", écrivions-nous le 19 mai, peu après Lens-Niort (voir notre article Le pire des scénarios). Le maintien d'un technicien qui a reconnu "un échec personnel" était évidemment une erreur. Les joueurs comme tous ceux qui ont le cœur Sang et Or ont encore en tête l'échec de la saison passée. Quelques minutes après le coup de sifflet du match contre Nîmes, Thomas Ephestion s'est ainsi remémoré ce qu'il appelle une "tragédie". Les joueurs avaient besoin de changement et d'un nouveau discours. Ils en ont toujours besoin. Comme nous l'avons écrit à de nombreuses reprises au cours de la saison passée (voir notamment nos articles C'en est AC ! publié en novembre, "Casanova casse-toi" et Lens déçoit encore et doit passer à un plan B en février), le RCL doit se donner le maximum de chances pour atteindre son objectif de montée. Cela passe par un changement d'entraîneur, seul moyen de redonner confiance aux joueurs comme aux supporters et d'espérer voir le Racing à un niveau que l'on attend désespérément. Les actionnaires - qui ont choisi de confier l'équipe première lensoise à Casanova - doivent enfin accepter de le limoger. Le premier tour de Coupe de la Ligue, mardi contre l'AC Ajaccio, représente une belle occasion pour permettre à un nouvel entraîneur de commencer à mettre en place ses idées. Les sommes perçues par le club en raison de l'augmentation du prix des places pour les abonnés (voir notre article Coupe de la Ligue : prix en augmentation pour les abonnés) peuvent être utilisées pour financer une part de l'indemnité de licenciement de Casanova. Il y aura beaucoup de volontaires pour faire augmenter la cagnotte !

Lance

Championnat de France 2017-18 - Ligue 2
Deuxième journée

Lens-Nîmes : 1-2
Buts : Lopez (6ème) pour Lens ; Ripart (87ème), Savanier (90ème +2) pour Nîmes
Avertissements aux Lensois Cvetinovic (19ème), Duverne (23ème), Lemos (26ème), Vachoux (36ème) ; aux Nîmois Bozok (54ème), Diabaté (56ème)

Lens : Vachoux - Carlier, Duverne, Cvetinovic (cap.), Lemos - Koukou, Ephestion (Bostock, 69ème) - Zoubir, Madri (Gérard, 14ème), Fortuné - Lopez (Lendric, 65ème). Entraîneur : Alain Casanova

Nîmes : Marillat - Alakouch, Garcia, Briançon (cap.), Diabaté - Thioub (Vlachodimos, 65ème), Valdivia (Bobichon, 82ème), Savanier, Ripart - Bozock (Valls, 87ème), Alioui. Entraîneur : Bernard Blaquart.

Photo : La Voix du Nord

Publié dans Humeur

Un match important pour la confiance et la crédibilité

Publié le par Lance

Alain Casanova a toujours aimé que ses équipes soient prudentes sur le terrain. L'entraîneur a décidé cette saison de ne prendre également aucun risque dans ses prises de parole. Il ne déclare plus être à la tête d'un groupe "dans l'obligation de monter" (voir notre article Casanova déjà sous pression) et tente aujourd'hui de relativiser l'importance des rendez-vous à Bollaert.

L'été dernier, le technicien insistait sur l'importance des matches à Lens. "La montée passera par un gros parcours à domicile, affirmait-il. Il faudra qu'on gagne vingt matches dans la saison et il y en a dix-neuf à Bollaert." La première rencontre à domicile, face à Tours, devait alors constituer une rampe de lancement vers le succès. Deux jours avant le match, Casanova avait appelé les supporters à mettre à leur fenêtre "quelque chose de représentatif du RC Lens, comme un drapeau, un fanion, un écusson" afin que "les joueurs ressentent et voient ce soutien quand ils iront au stade" (voir notre article Le drôle d'appel de Casanova) et il avait annoncé que "le premier match à la maison sera important pour la confiance et la crédibilité par rapport à ce que l’on veut faire. [...] Je suis persuadé que l’équipe débutera par une victoire à Bollaert !"

Une semaine après être revenu de Niort avec le point du match nul, Lens avait à nouveau déçu face à Tours (2-2, voir notre article Quelle crédibilité pour le projet de jeu lensois ?) et perdu ses premiers points dans son antre. En fin de saison, le Racing n'avait offert que neuf clappings à ses supporters et laissé filer vingt-quatre (six nuls, quatre défaites) des cinquante-sept points en jeu sur sa pelouse. Difficile de ne pas mettre en perspective ce bilan et le classement de fin de saison où une seule unité a manqué au RCL pour rejoindre l'élite...

Un an plus tard, la réception de Nîmes est plus importante que ne l'était celle de Tours en août dernier. Le Racing s'est en effet incliné à Auxerre lors de la première journée. Le club est toujours marqué par le scénario du 19 mai, son entraîneur critiqué et sifflé à Bollaert. Les Lensois ne peuvent se permettre de compter au mieux un seul point en deux journées. Dans ce contexte, Casanova minimise pourtant l'importance de ce premier rendez-vous dans le Pas-de-Calais. "L'an passé, même les meilleurs ont lâché des points chez eux, observe-t-il. On ne veut pas avoir une vision domicile-extérieur mais plutôt une vision globale. Il ne faut pas faire de différence. Mais c'est vrai que l'on éprouve un plaisir énorme à jouer à Bollaert et retrouver notre public, l’un des plus beaux si ce n’est plus le beau public qui puisse exister en France. On va tout mettre en œuvre pour lui offrir un succès." Casanova ouvre le parapluie et passe la brosse à reluire. Mais quel que soit son discours, seule une victoire constituera un bon résultat ce soir contre Nîmes.

Lance

Publié dans Humeur

Casanova déjà sous pression

Publié le par Lance

"On est dans l'obligation de monter". Il y a un an, avant l'ouverture du Championnat à Niort, Alain Casanova affichait son ambition. Entraîneur pendant près de sept saisons à Toulouse, l'ancien gardien de but ne s'imaginait pas passer plus d'un an sur un banc de Ligue 2. "Je ne voulais pas aller en L2 dans un premier temps, reconnaissait-il après quatre mois passés dans le Pas-de-Calais. Aujourd’hui, je suis un entraîneur de Ligue 1 qui exerce en Ligue 2."

Lens n'est pas monté en Ligue 1. Casanova a reconnu "un échec personnel" mais est toujours là. Il se veut plus prudent qu'il y a un an et ne fixe aucun impératif de montée. "Qu’on le veuille ou non, il y aura dix équipes qui auront pour objectif de monter. [...] Ça va être un championnat relevé et difficile."

Les dirigeants affichent un discours comparable à celui du technicien. "Il n’y a aucune menace des actionnaires, bien au contraire, indique Gervais Martel. Évidemment, ils nous disent que cela serait bien que l’on monte. On a tous cette idée en tête." "Si on ne monte pas, on travaillera mieux la saison d’après", confirme Arnaud Pouille. Leur discours est évidemment peu crédible. Chaque saison en Ligue 2 entraîne un déficit de dix millions d'euros et le Racing ne peut être viable économiquement qu'en se réinstallant dans l'élite.

Alain Casanova estime "qu'on ne juge pas les compétences d'un entraîneur uniquement sur les résultats. Un point de plus ou un point de moins la saison dernière n'aurait rien changé à ce que je vaux." L'entraîneur dit vrai : un point de plus et une montée dans l'élite n'auraient pas changé la perception qu'ont de lui les supporters lensois. L'ancien gardien de but, sifflé la semaine dernière par Bollaert à l'occasion du dernier match de préparation de son équipe, entame la saison en étant déjà sous pression. Alors que la première journée propose d'entrée à son équipe un déplacement à Auxerre, un autre des favoris du Championnat, puis de recevoir Nîmes (sixième la saison passée) et Brest (cinquième la saison passée) lors de deux des trois journées suivantes, Casanova sera jugé avant tout sur ses résultats. En juin, lors d'une réunion avec les représentants des associations de supporters lors de laquelle le natif de Clermont-Ferrand était contesté, Gervais Martel avait clairement fait comprendre que Casanova ne résisterait pas à un premier mois de compétition comparable à celui de l'été dernier (six points en cinq matches).

Lance

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Coupe de la Ligue : prix en augmentation pour les abonnés

Publié le par Lance

15 568 spectateurs avaient assisté la saison passée au premier tour de la Coupe de la Ligue. Comme l'été dernier, le Racing reçoit l'AC Ajaccio pour son entrée dans cette compétition. L'affluence sera-t-elle comparable ? Tout n'est pas fait pour que ce soit le cas.

Sportivement, la composition d'équipe alignée par Alain Casanova au deuxième tour contre le Paris FC, en août 2016, est encore présente dans les têtes.  L'entraîneur avait titularisé six joueurs qui ne sont pas apparus de la saison en Championnat (voir notre article Convoqués face au Paris FC et après ?). Il n'avait pas tout fait pour que son équipe se qualifie et avait même tout fait pour qu'elle ne se qualifie pas. Alors que les Sang et Or pourraient se déplacer à Lorient au tour suivant, quelle importance accorderont-ils à ce premier tour de Coupe Machin ?

Au niveau de la billetterie, les tarifs sont en hausse pour les abonnés (aucune priorité de réservation de leur place ne leur est par ailleurs accordée). Comme il y a un an, les non abonnés doivent payer de 5 à 18 euros (demi-tarif pour les moins de seize ans). Les abonnés à la formule classique (formule appelée "Lens toujours là") doivent payer le même prix puisqu'ils ne bénéficient cette fois d'aucune réduction.

Les abonnés à l'autre formule ("110 ans" la saison passée ; "Lens s'élance" en 2017-18) sont ceux qui font la plus mauvaise affaire. Invités lors des précédentes saisons, ils doivent payer de 4 à 15 euros pour assister à Lens - AC Ajaccio, soit les tarifs mis en place il y a un an à destination des personnes ayant souscrit à la formule d'abonnement classique.

Formule classique 2016-17
Formule Lens toujours là 2017-18
Formule 110 ans 2016-17
Formule Lens s'élance 2017-18
Lepagnot
15 €
18 €
gratuit
15 €
Xercès centrale
13 €
16 €
gratuit
13 €
Xercès latérale
11 €
14 €
gratuit
11 €
Marek
8 €
13 €
gratuit
8 €
Delacourt 1
8 €
10 €
gratuit
8 €
Delacourt-Trannin 0
4 €
5 €
gratuit
4 €

La formule d'abonnement "Lens s'élance" est vendue à un prix un peu plus cher que la formule classique en échange de quelques avantages*. Une invitation pour les rencontres de Coupe de France et de Coupe de la Ligue en faisait partie la saison passée. Cette fois, le club avait communiqué sur une "réduction" dans ses publicités et même sur une "grosse réduction" lorsqu'il lui avait été fait remarquer que la formule perdait de son intérêt. Le rabais est pour la plupart des tribunes de 20% (près de 40% en Marek). Les abonnés en Delacourt 0 et Trannin 0 ayant opté pour une formule qui leur a coûté 30 euros de plus que la formule classique se voient accorder un euro de réduction. Si le Racing communique au sujet du match RCL-ACA sur une "émotion corsée", les abonnés à la formule "Lens s'élance" vont surtout avoir l'impression que cet adjectif concerne avant tout l'évolution de leurs conditions tarifaires. Dans ces conditions, il faut s'attendre à ce que cette formule plus élaborée ne rencontre aucun succès la saison prochaine et finisse par disparaître.

Lance

* Cette saison, les avantages sont : une réduction sur les matches de Coupes disputés à Bollaert, une place offerte sur deux rencontres de Championnat (dans la limite des places disponibles), l'assurance perte de carte d'abonnement, la possibilité de revendre sa place sur la bourse d'échange (service limité à cinq reventes, uniquement intéressant pour les abonnés en Marek, tribune affichant complet à l'occasion de chaque rencontre), 10% de réduction à la boutique Émotion Foot chaque jeudi et un bracelet en silicone "Lensois un jour, lensois toujours".

Publié dans Humeur